Revue de presse

À propos de « L’effet waouh des zones côtières » :

« Entre réalisme mordant et onirisme planant, le monde d’aujourd’hui s’y exhale en troubles volutes délicieusement grisantes. »
Jérôme Provencal – Les Inrockuptibles

« Précis du déconfinement réalisé sous camisole chimique, cet Effet waouh des zones côtières est probablement le disque qui identifiera le mieux cette drôle d’époque dans dix ou vingt ans, et peut être qu’alors on nous trouvera chanceux de l’avoir eu comme compagnon de spleen. »
Christophe Conte – Libération

« Un album d’une modernité confondante qui parle du confinement, du déconfinement, d’une façon pop et langoureuse. »
Frédéric Taddei – Europe 1

« Piquant et croustillant avec un chouilla de mélancolie sous les sombreros ».
Nathalie Bachelerie – Froggy’s delight

« En se glissant avec jubilation dans les langues de bois de toutes les soumissions, celles qui nous conduisent si suavement vers l’Aliénation Terminale, ces chansons affriolantes et ingénument terrifiantes nous ravissent. Waouh !!!!! »
Dyonis – Inactuelles

« En scannant aussi brillamment et lucidement l’époque, Institut détourne la lumière de ces temps éclairés en permanence. Et nous lance à la figure, et à la conscience, les éclats d’une condition humaine réduite à des gestes et postures pré-programmés. Cet effet-là à tout d’un disque absolument majeur. »
Yan Kouton – Indiepoprock